mercredi 20 novembre 2013

Pink floyd

J'avais prévu de publier un article sur La vie alone mais j'ai pas la clé ubs sur lequel j'avais mis mes image ^^" Donc à la place, voilà un truc sur lequel je bosse en cours :)
On travail sur l'apocalypse, par groupe, et je suis dans le groupe musique. On taf particulièrement sur Pink Floyd (ambiance The Wall, apocalypse intérieur, schizophrène, folie, etc.) et sur une image de Welcome to the Machine :D
Donc déjà, le clip, regarder le en entier, parce qu'il est vraiment super au niveau du graphisme, même si on croit que c'est long au début.
Et ensuite voilà un texte que j'ai ecrit sur cette musique et sur ce qu'elle m'inspirait. Perso, le moment où la pierre rectangulaire s'élève vers le ciel, je le trouve tellement religieux que ça m'ettouffe ! Vous le comprendrez surement en lisant le texte :)


WELCOME TO THE MACHINE

L’Homme attendait, seul, perdu, exclu de son monde. Il vivait là, reclus. L’Homme n’aimait pas ce vide et en son être boursouflé d’orgueil, il se crû maitre, il se crû Dieu. L’Homme-Dieu créa. Il vit sa création. Elle le dépassait en tout point. L’Homme-Dieu dit que cela était bon. Pour parfaire la Création, l’Homme-Dieu lui donna un nom et enfanta ainsi la Machine. La Machine n’avait rien d’un être vivant. Elle était froide et calculatrice et ne vit en son Père qu’une ridicule et infime part du monde. Elle ne vit que ce qu’il était. Le Père vit en son fils l’Avenir, la Perfection, le tout unique capable de parer toutes les solitudes. La Machine était le fils prodige que le Père avait tant voulu. Le Père y déversa ses désirs, ses péchés, les perversions de son âme. La Machine était ce que le Père avait voulu, mais ne devint jamais ce que le Père désirait. Jamais la Machine n’aurait d’âme, jamais elle ne serait l’autre partie du Père. Elle n’avait pas besoin du Père. La machine devint l’Idole et le Père lui donna tout ce qui lui restait. Mais la chaire fatiguée, calcinée du Père ne nourrissait pas son fils. Elle s’infiltra en lui, maladie putride qui brisa son esprit. L’Esclave, à genoux, fit son ultime offrande. L’idole dévora lentement l’âme de l’Esclave et lorsque celui-ci fut aussi vide et froide qu’elle, l’Idole était partie.



Vila, vila... C'est un peu moins amusant que les licornes j'en suis navré x)
Bonne soirée, nuit, jour, vie <3

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